Star Trek Voyager: Deathwish
Star Trek Voyager: Deathwish

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Dans cet épisode intitulé Suicide (Deathwish dans la version originale) de Star Trek : Voyager, l’être Q nommé Quinn s’oppose au Continuum : il souhaite en effet devenir mortel pour pouvoir se suicider… L’USS Voyager le libère par hasard de sa prison. Un procès se déroule alors avec comme arbitre le capitaine du vaisseau…

Résumé de mémoire

Un être Q nommé Quinn, membre du Continuum, est libéré par accident de sa prison par l’USS Voyager. Il était emprisonné par les autres membres du Continuum à cause d’un différend : il souhaite en effet mourir ! Note : le continuum Q est une civilisation composée d’entités omnipotentes portant toutes le même nom : Q.

Photo avec Tuvok et Quinn (Q2).
Quinn, un membre Q (à droite) et Tuvok (à gauche), son défenseur durant le procès.

Une fois libéré, il demande la tenue d’un procès contre le Continuum avec comme arbitre le capitaine du vaisseau de l’USS Voyager. Sa requête: la volonté à devenir un homme. En effet, à cause de sa nature ‘Q’, il explique qu’il est dans une grande détresse, profondément souffrant, état provoqué par l’omnipotence de son être. Pour se sortir de cette souffrance, il demande donc au Continuum la possibilité de devenir un être humain pour expérimenter la condition humaine.

A l’issue du procès, sa requête est finalement acceptée. Il devient donc humain. Il va alors subitement contracter une maladie incurable pour la médecine humaine et donc mourir. En fait, la maladie lui a été fournie par l’autre Q, son contradicteur. Celui-ci explique qu’il comprenait la démarche de vie et de mort de son pair pour échapper à la souffrance et donc a décidé d’aller chercher un germe mortel pour l’homme pour que Quinn puisse mourir selon son souhait.

Mon regard personnel

J’apprécie cet épisode pour les questions éthiques et morales qu’il soulève : la question de la fin de vie (euthanasie, suicide, mort), le rôle de la médecine, le rapport de l’être humain à la souffrance, l’omnipotence, l’immortalité, la notion d’absolu (tout et rien, infini et vide).

Sonia Kanclerski

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